Le 4 octobre, David Beckham a dévoilé une série documentaire sur Netflix, composée de quatre épisodes, qui retrace sa carrière de footballeur britannique tout en révélant quelques facettes de sa vie personnelle.
David et Victoria Beckham, un couple qui perdure depuis 24 ans, sont considérés comme l’un des couples les plus solides de la célébrité. Dans le documentaire, David partage le moment où il a aperçu la créatrice de mode pour la première fois en 1996, dans un clip des Spice Girls, en disant à un ami : « La femme que tu vois là, c’est celle que je veux épouser.«
En 2004, des rumeurs d’infidélité ont entouré l’ancien footballeur, avec des allégations de Rebecca Loos affirmant avoir eu une liaison avec lui à l’époque où il jouait au Real Madrid. Dans le documentaire, le couple explique comment ces accusations ont eu un impact sur leur relation aujourd’hui.
Par la suite, l’actrice a accordé une interview au ‘Daily Mail’ dans laquelle elle a accusé David Beckham en disant que c’est toujours « pauvre de moi« . Elle a affirmé qu’il devait assumer ses responsabilités. Elle a reconnu qu’il avait le droit de s’exprimer comme il le souhaitait et comprenait qu’il devait protéger son image, mais elle a reproché le fait qu’il se présentait comme la victime et la décrivait comme une menteuse, comme si elle avait inventé ces récits. Elle a également noté qu’il insinuait indirectement que c’était elle qui avait fait souffrir Victoria.
Rebecca Loos a également soutenu que regarder Victoria dans le documentaire avait été « incroyablement difficile« , tout en maintenant que les histoires d’infidélité étaient bien fondées. Elle a exprimé son désaccord avec le fait que David n’ait pas mentionné ce moment difficile dans sa vie en disant que ce n’était pas le moment dont il était le plus fier. Elle a exprimé sa consternation en déclarant que David Beckham avait suggéré qu’il n’aimait pas voir sa femme souffrir, alors que selon elle, c’était lui qui avait causé la douleur, tout en tentant de faire croire que c’était de sa faute, que lui n’y était pour rien.