Nouvelle déclaration d’amour de la teigne Beverley pour son meilleur ennemi Chris Paul. Le genre de sortie qu’on n’a plus trop l’habitude d’entendre mais qui régale toujours.
Le meneur des Phoenix Suns pourra le confirmer; vaut mieux avoir Patrick Beverley dans son équipe que dans celle d’en face. On sait déjà où il faudra regarder quand les joueurs de l’Arizona affronteront les Los Angeles Lakers : le duel Paul vs Beverley. Ce n’est pas nouveau, les deux ne sont pas les plus grands copains du monde sur le terrain, à vrai dire, ils ne peuvent pas se blairer. « Pat Bev » a toujours dédié sa vie à pourrir celle de Chris Paul quand ils se rencontrent. Et on dirait qu’il n’est pas prêt d’arrêter: « Jusqu’à qu’il prenne sa retraite ou jusqu’à que mes putains de chevilles me lâchent, je traquerai son cul », un plaisir.
Ce genre de relations fera peut-être un sursaut de nostalgie aux fans des 90’s, époque où la ligue était gavée de confrontations (Jordan VS Thomas ndlr), époque où la ligue ne sifflait pas une faute technique parce qu’on applaudit un peu trop fort quand son coéquipier lâche un gros poster…